Solo Houses – Réservations et informations : 01 53 00 97 44
Lors d’un séjour à Toronto, Je me souviens d’une discussion avec mon ami photographe, Hill Peppard sur l’approche esthétique à adopter pour donner une âme à des espaces intérieurs. Hill Peppard nous offre avec ce tirage l’ambiance de l’une des dernières réalisations du studio Yabupushelberg.
Artemide, maison culte du design de luminaire , initie un partenariat avec le Royal Collège of Art.
Le « Royal College of Art » est d’un genre très spécial dans le domaine des idées industrielles. Comme le monde ne propose de diplômes qu’aux institutions universitaires de l’art et du design, il s’est spécialisé dans l’enseignement et la recherche, offrant des grades MA, PpHIL et PhD pour des disciplines telles que les beaux arts, les arts appliqués, le design et la communication. Le « Royal College of Art » est la plus grosse concentration d’artistes et de designers que l’on peut trouver sur la planète. Toujours à l’avant-garde avec un impressionnant va et vient de professeurs associés et de consultants, les élèves offrent des opportunités «première classe» pour des collaborations avec les différents partenaires industriels et culturels. Tout ceci se résume en un environnement créatif nulle part ailleurs comparable. Dans un projet de recherche soutenu par Artemide, 74 étudiants de dernière année en section design, coordonnés par le célèbre architecte Ron Arad et leur tuteur Daniel Charny, ont développé différents prototypes de luminaires, montrant leur créativité en portant une attention toute particulière à la chance de réalisation du produit. Par la suite, les meilleurs prototypes ont été sélectionnés par un jury spécialisé, dirigé par Ernesto Gismondi – Président du Groupe Artemide. Pour les projets considérés comme particulièrement innovants, il a été évoqué la possibilité d’une production industrielle. Nous sommes fiers de cette coopération avec le «Royal College of Art»; des séminaires ont ainsi été organisés à Londres sur le thème de l’éclairage, menés par des designers internationaux comme Richard Sapper, Michele de Lucchi et Ernesto Gismondi, et dans le but de développer la compétence des étudiants en matière de lumière.
Voilà donc encore une nouvelle expérience utilisateur; à vos cocktails, le bar réagit à vos humeurs ! C’est TORNFILM, un mathématicien interactif qui est à l’origine de cette innovation
« A nice meso project. I made the vvvv programming for the project: video tracking with 2 PAL cams, infra red light and the output animations on two beamers using pixel shaders from gregsn and sanch and me. most difficult part was to equalize the displaced and distorted cam input. output is 2048×768 at 60fps. » TORNFILM
Venu d’Atlanta et d’Australie, « FREE-HUGS » est un concept révolutionnaire qui cherche à briser les barrières de l’individualisme et de l’inhibition d’une simple accolade conviviale. En Chine, aux Etats-Unis, au Brésil, en Espagne, en Italie, au Royaume-Uni, en Afrique du sud, en Israël… des gens poursuivent la pensée de Free-Hugs, et la diffuse autour d’eux. Basé sur un message de communication pacifiste, d’échanges, et de solidarité entre les êtres, il applique l’idée simple de diffusion d’ondes positives par des actes spontanés. Encore peu reconnu en France, de jeunes franciliens cherchent à étendre le message, autours d’happenings présents dès maintenant dans les rues parisiennes.
envoyé par UrbanX
Sometimes, a hug is all that we need. Free hugs is the real life controversial story of Juan Mann, A man whose sole mission was to reach out and hug a stranger to brighten up their life.
In this age of social disconnectivity and lack of human contact, the effects of the Free Hugs campaign became phenomenal.
As this symbol of human hope spread accross the city, police and officials ordered the Free Hugs campaign Banned. What we then witnessed was the true spirit of humanity coming together in what can only be described as awe inspiring.
In the spirit of the Free Hugs campaign, pass this on to a friend and hug a stranger! After all, If you can reach just one person…
Imaginez une créature de rêve au détour d’une usine désafectée… Mon ami Hill Peppard , ange urbain de Toronto, a eu le temps de l’immortaliser avec son objectif…
Galerie marchande à un seul accès, construite de 1923 à 1924 par l’architecte Ferdinand Bauguil pour le compte de Théo Cremnitz, promoteur de cet ensemble de « magasins d’exposition ». Appelé « Palais du Commerce », l’édifice abritait une cinquantaine de magasins et ateliers. Constitué de deux niveaux de galeries ouvertes sur des coursives, la galerie est en béton armé. Les sols pavés de verre et une verrière en fond de galerie éclairent l’ensemble. Le sous-sol abrite un bal-musette, « La Java », qui a vu débuter, entre autres, Edith Piaf et Maurice Chevalier. Aujourd’hui entièrement rénové, le lieu a retenu l’attention des Anges Urbains. A suivre…
Avec plus de 1,8 millions de personnes inscrits, Second Life est devenu en quelques mois le nouveau monde virtuel ou vous vous devez d’évoluer. Plusieurs millions de dollars s’échangent tous le mois dans Second Life, devenant ainsi la nouvelle place économique où investir. L’affaire est suffisamment sérieuse pour que Philips décide d’y installer son nouveau Showrom Design. Réalisé en partenariat avec l’agence Rivers Run Red, Avalon est une vitrine virtuelle qui présente les toutes dernières innovations technologiques de la marque. Rendez-vous dans Second Life, Si vous rencontrez Urban Bellman, soyez rassuré c’est le nom de mon avatar, je me ferais un plaisir de vous servir de guide !